A trois semaines de l’évènement, sa promotrice, Annie Tchawack, affirme que rien n’est prêt faute d’argent.
Annie Tchawack, la promotrice des rencontres chorégraphiques Corps é gestes, a organisé une conférence de presse le 28 septembre 2010 à la fondation Muna à Yaoundé, pour pousser un cri d’alarme : à trois semaines du festival, rien n’est prêt, faute d’argent liquide. Ce cri du cœur s’adresse aux partenaires de l’évènement : le ministère de la Culture, l’Organisation internationale de la Francophonie et les services de coopération de l’ambassade de France au Cameroun, entre autres. Le but étant que les participations financières promises soient débloquées.
La 3ème édition de Corps é gestes est prévue du 21 au 28 octobre prochains à Yaoundé, sur le thème: « Danse : symbole de rapprochement des peuples ». Mais Annie Tchawack laisse entendre que cette date pourrait être repoussée. D’ores et déjà, 11 compagnies et danseurs de plusieurs pays sont annoncés : Centrafrique, Haïti, République démocratique du Congo, Rwanda, Israël, Gabon, Cameroun. Au programme, des représentations de danse en compétition au Centre culturel français, des spectacles d’animation à l’Institut Goethe, des spectacles hors site à la prison centrale de Yaoundé. Annoncés aussi des ateliers de scénographie, de danse et de chorégraphie et des débats sur les défis de la promotion de la danse contemporaine en Afrique.
Cette année, six prix seront décernés. Annie Tchawack craint que, contrairement aux années précédentes, les primes financières ne soient pas décernées aux lauréats. Malgré cela, elle ne désespère pas. « Ensemble, nous allons frayer un chemin pour que la danse contemporaine vive au Cameroun ».
Créé en 2007 par l’association Réseau Af-art culture, le festival Corps é gestes, d’abord biannuel, va désormais se tenir chaque année.
La 3ème édition de Corps é gestes est prévue du 21 au 28 octobre prochains à Yaoundé, sur le thème: « Danse : symbole de rapprochement des peuples ». Mais Annie Tchawack laisse entendre que cette date pourrait être repoussée. D’ores et déjà, 11 compagnies et danseurs de plusieurs pays sont annoncés : Centrafrique, Haïti, République démocratique du Congo, Rwanda, Israël, Gabon, Cameroun. Au programme, des représentations de danse en compétition au Centre culturel français, des spectacles d’animation à l’Institut Goethe, des spectacles hors site à la prison centrale de Yaoundé. Annoncés aussi des ateliers de scénographie, de danse et de chorégraphie et des débats sur les défis de la promotion de la danse contemporaine en Afrique.
Cette année, six prix seront décernés. Annie Tchawack craint que, contrairement aux années précédentes, les primes financières ne soient pas décernées aux lauréats. Malgré cela, elle ne désespère pas. « Ensemble, nous allons frayer un chemin pour que la danse contemporaine vive au Cameroun ».
Créé en 2007 par l’association Réseau Af-art culture, le festival Corps é gestes, d’abord biannuel, va désormais se tenir chaque année.
Stéphanie Dongmo
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